...ou le calme après la tempête.
Déjà, une semaine avant l'évènement, la campagne basse-normande était sillonnée par la maréchaussée, l'armée et les compagnies républicaines de sécurité.
Pendant deux jours entiers, Deauville fut un camp retranché. Impossible pour un non-autochtone de pénétrer le périmètre.
Le dimanche venu, encouragé par les files de cars bleus reprenant la direction des casernes, je tente d'accéder aux planches.
Surprise! A part les équipes qui s'affairent à démonter les installations du G8, les rues sont désertes. Même le soleil a quitté la côte. L'ambiance est lourde sous le ciel d'orage. Ni une, ni deux, je décide d'investir le bar du Normandy.



Le verre est accompagné de Tendresses de saumon. Elles portent bien leur nom car elles absorbent la tourbe du whisky qui ne garde que sa liqueur.

Mais déjà, le petit moment de quiétude s'achève, avec une pensée pour ma Comtesse quand George Michael chante As...
François
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